Au premier trimestre 2023-24, nous avons effectué une enquête auprès de nos collègues du second degré quant à leur situation de travail. Nous remercions la vingtaine de ceux et celles qui ont bien voulu nous répondre. Voici quelques éléments collectés.
Nous sommes notamment interpelés quant à la quotité importante du service consacrée à la valence du CAPES obtenu par nos collègues, qu’il s’agisse d’un choix motivé par l’intérêt d’une présence plus importante dans l’établissement et donc d’une plus grande reconnaissance, qu’il s’agisse d’une nécessité pour ne pas démultiplier le nombre de lieux d’affectation. Dans tous les cas, aucune compensation n’est donnée à la discipline pour laquelle ils ont été recrutés et nous perdons ainsi un grand nombre d’heures d’enseignement, lesquelles s’ajoutent aux postes perdus depuis le début du millénaire : de 56 postes à une trentaine.