4ème de couverture : « La France ? Un pays qui se dit éternel, et qui efface de son histoire tout ce qui pourrait relativiser sa réussite dans la crainte de se remettre en question…
L’Occitanie ? Un pays qui n’existe pas sur les cartes – ou si peu –, qui a perdu son histoire, qui ignore sa culture et qui a dû mépriser sa langue par obligation scolaire.
L’un de ces pays contient l’autre, mais parce qu’il l’efface.
Alors, entre l’Occitanie et la France, l’auteur instaure un dialogue beaucoup plus radical que dans ses livres antérieurs. Il pose le droit à l’existence des Occitans.
Sa Lettre ouverte aux Français d’un Occitan n’a pas été écrite dans l’isolement d’un cabinet de travail, mais à chaud, dans la progression d’un sentiment collectif qui, aujourd’hui pris en charge par la jeunesse d’Occitanie – comme de Bretagne ou d’Euskadi –, continue à entraîner l’auteur dans un militantisme incessant.
Ce livre est un pamphlet qui dénonce l’oppression scolaire et culturelle, le racisme et l’oppression sociale dont souffrent les minorités de l’hexagone. C’est aussi un journal de route, où passent les visages des écrivains, des militants occitans et de leurs adversaires où l’on découvre les paysages d’une terre passionnément aimée. »